27/10/2006 des jardins potagers Entre le terrain du Complexe du Zénith et les terres encore cultivées Ce que l’on appelait des jardins ouvriers j’y ai parfois vu une vie, un peu celle d’un camping Des chaises en plastique l’attestent Personne ! Pourtant de la fumée s’échappe d’un tas de feuilles Une ou deux cabanes sont secrètement aménagées pour y passer des nuits Tout à côté, une vraie maison, fermée comme les cabanes Un chien aboie, mais au-delà, très loin Bah, c’est l’automne Quelques derniers légumes plus ou moins abandonnés Vivement que vienne le temps de retourner la terre On pensera alors au début de saison, à la renaissance, aux petites graines A la jardinerie, on ira acheter aussi les plants, et cette vie fera du bien Aujourd’hui, la seule attente, c’est qu’il gèle un peu pour permettre à la terre de s’aérer Mais il ne faut pas oublier de brûler les feuilles et branchages pour tuer la maladie Il faut laisser passer ces jours sans lumière et ces heures d’hiver *** 18/11/2006 Le soleil dans les yeux J’ai le soleil dans les yeux, je ne vois plus rien. La tête haute, je prends tous les rayons sur le visage.
En ouvrant un minimum les yeux, je ne vois que le sol jusqu’à deux mètres *** 05/05/2007 La zone artisanale A l’entrée de la zone artisanale Des rails, là ! D’autres éléments, un reste de grillage, une pierre sur l’acier Et puis il s’est mis à tomber une averse. Merde ! Enfermé dans la voiture, je fais quand-même des photos, sans bouger, derrière les vitres Je redémarre, et fais encore quelques photos en roulant *** 07/05/2007 Des Slaps Faire des photos avec le 500mm Tokina à miroir jouer sur la mise au point et sur le cadrage approximatif à main levée Retour en ville Les personnes ne sont pas identifiables les formes s’imbriquent les couleurs se pastellisent les situations sont déchiffrables certaines nettetés peuvent être présentes le flou n’enlève rien, c’est un élément de plus Le texte serait là (à chaque photo, même emplacement), ça peut être trois mots comme un titre,
ou quelque chose de beaucoup plus long… *** 29/05/2007 marche dans la garrigue marche dans la garrigue chante dans les prés enjambe les buildings annule le jardin arrose la pointe passe à travers retiens l’herbe demande à l’oiseau éteins la journée commence par le petit déjeuner rentre le ventre défais le pied recommence à l’hôtel ajuste ton tournis déjoue le jeu espère l’amer prépare le tas écope le marché *** 21/06/2007 Photos-vive être, artiste humain mortel solitaire sans avenir faisant des photos comme passe temps chercheur en images photographiques dépendant d’indépendance ennuyeux une certaine culture une certaine intelligence complètement coincé sérieux laissant une trace sitôt oublié faisant de la résistance au lieu de non-résistance passant la vie à attendre survivant grâce au regard (passif) de la photo *** 16/09/2007 Les Jardins de la Fontaine Nîmes Dimanche 15 Septembre Journée du Patrimoine Feria des Vendanges Les Jardins de la Fontaine, assez peuplés, essais de prises floues Espaces spécifiques puis mise en situation humaine Il semble s’agir d’un entre-deux, normal à 14h30 durant la Feria L’un téléphone longuement de long en large Beaucoup ne font que passer, poussettes, deux jeunes s’embrassent Une grande étrangère (anglaise) se plaint de son ventre et de ses reins à son ami, en riant Comme toujours, les vieux regardent des enfants avec envie Beaucoup sur l’herbe sont allongés, mangent, regardent les enfants bouger Deux chiens se croisent, à distance, en laisse Une fille avec une robe courte bleue ciel et un sac à dos rose et sa copine en tee-shirt bleu foncé Une femme obèse avec un pantalon en coton rouge et tee-shirt orange, les deux « passés » Un jeune avec un tee-shirt marqué destroy-fascism, avec un chapeau de chasseur et un chien en laisse *** 23/10/2007 Portrait de balade (Photos fin de jour, vitesse lente. Prises de vues en marchant.
Le texte est un poème pris sur internet et mis plusieurs fois dans un logiciel de traduction.) Je connais la nature toujours fidèle telle que la voix divine que notre aile nous invite des appels à nous perdre à son milieu pour apprécier que là elle a de plus sainement. La nature est une dame fidèle qui nous explore, dans la joie et le drame elle est la gardienne que dessus nous sauvons même nous-mêmes au jour de salut de courroux sur la mère qui nous alimente de l'amour que chaque moment ne protège pas de nos jours la nature est comme papillon qui vole d'approximativement à approximativement. Elle est, nature par très sa verdeur qui sur nos besoins répond toujours là par notre bâche de sa nature de soin n'est aucun morceau d'argent que notre laisse toujours par à acheter eux est une mère, une âme fidèle qui des appaeses nous dans la joie et le drame. La nature est une âme fidèle qui nous confie toujours toujours notre dans les interpellates de nature toujours que l'once de sa verdeur couvre. *** 18/11/2007 Un camping en hiver introduction situation situation détaillée situation détaillée développement variation développement détail variation développement décrochage conclusion 17/05/2008 En voiture, en ville ! Il s suffi de passer, c’est un quartier, toujours délicat. Puisque c’est en voiture, le regard fait vite, ce qui est choisi est vu décalé, tard. L’image est contenue, réussie, le lieu s’est échappé et est devenu sa photographie. Temps de bascule, le ciel chargé où se déplacent les oiseaux bien présents, sans horizon stable, ils volent, tout bascule légèrement ! 02/02/2009 Une photo seule Pas forcément besoin de quelque chose d’autre. Certaines photos tiennent seules, comme celle-ci. Quelque chose de l’enfance, comme un petit lieu, une petite perspective qui pouvait devenir un monde avec quelques billes ou un soldat en plastique. Ce souvenir « brillant » est comme gélifié sous un film d’eau, dans une lumière de « rêve ». 09/07/2009 De nuit Il fait bon, de nuit Autre chose, pas de soleil, autre histoire, à deux pas, les voitures, derrière des ombres de pins et de troènes, un poteau, l’ombre cisaille, entre dans ces véhicules Chaque soir, rien ne bouge, les projecteurs sont les mêmes, les arbres sont là Seules lev voitures, garées autrement, à l’inverse, plus loin le long du trottoir ont changé 28/02/2011 4 poèmes sur photo (texte fait d’après les photos et passé dans un logiciel traducteur) La pierre démontre un symbole de force, de passivité au bord de la fluidité, de la clarté. Son aspect proche, mais qui n'est pas crâne, ressemble à une bête alors que l'on sait que cette forme est emplie de matière. *** Le buis coupé, mort depuis longtemps, laisse sa marque près du dolmen, perdu dans la garrigue. La sève du pin passe au-dessus. On peut voir qu'il y a au sol de nombreuses sortes de plantes, de mousses, des aiguilles. De belles couleurs. *** Pourquoi dans la balade trouver un portail ainsi, fin, et les boules rouges se déversent devant dans une composition tout en travers de l'image. Le flou et le net distribuent et guident le regard vers rien qui vagabonde au milieu de la transparence. C'est bon, c'est bien. *** Comme un mur bouchant la vue. La perspective est cassée, des lignes jaunes soutiennent l'horizon, une protection pour la circulation de la sève. Pas trop serré, le respect, l'image est stable. Les flous des branches plaisent, séduisent. *** 02/03/2011 6 poèmes sur photo La branche est un morceau de plastique, un bout de tuyau déchiqueté. La couleur bleue-nuit qui le caractérise vient du traitement photographique dans une lumière presque éteinte. Le premier plan raye l'image, distribue un rythme musical. Il est question d'un fossé, d'un abandon. *** On ne voit pas bien, mais c'est un mur plus ou moins recouvert de ronces et d'arbustes. Plein de couleurs et de lignes, morceau de balade, la dominante rouge bordeaux détend, une incompréhension dans ce qui est mais c'est bien quelque chose. *** La pierre, une peinture de pierre, une peinture rupestre. Entourée de thym, elle est là, seule, prête à affronter le temps pour un bon bout. *** Le vent, il n'y a pas de vent, mais l'on sent sa dominante, d'où il souffle toute l'année. Couleurs riches, dorées, donne une belle joie à l'image alors qu'il n'est question que de feu, d'embrasement. *** Pas loin du chemin, à quelques pas, une roche est là, blanche cendre, entourée de lignes noires. Les pins, tous les arbustes sont très noirs, le sol laisse sortir de nouvelles pousses. Ça repart. *** Mangé par les vers, à l'enver ou de travers, elle étonne par son aspect. Ce n'est que très classique, nombre d'or, pourtant la blancheur mange tout. *** 04/03/2011 6 poèmes sur photo Les petits chevaux sortis de la grotte, au galop, c’est une perspective Ce n’est pas très fiable C’est plutôt une feuille, à mon souvenir *** La feuille gonfle, avec un air de ballon Il, elle est en mouvement, en vibration, la tige reste stable dans l’angle Elle provoque une sensation d’énervement, d’excitation *** Le choix de l’aiguille, répétez feu vert, érable montpelliérain clair Même le point rouge C’est juste un morceau de parterre, il serait ennuyeux, n’est-ce-pas ? *** Vu dans la galaxie Noir et blanc, et d’autres caractéristiques de pierre La taille des fissures et d’autres caractéristiques sont considérées comme beau, clair… *** Eclatement des particules de lumière, vert fluorescent, c'est une plongée dans la nature, un détail avec ses propres rythmes, son ordre apparenté au désordre. Il y a cependant de la géométrie en place, des diagonales. *** Proche de la terre, humide, hivernale. Elle repose dans le froid, parsemée de petits cailloux brillants. C'est une fête, les petites plantes plus ou moins pourries la nourrissent pour plus tard, pour le printemps. 06/03/2011 13 poèmes sur photo (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) C'est bien de la photo. C'est à peine lisible, des pierres d'un chemin sans doute, différentes profondeurs, une fleur vole au dessus. *** La vigne, le raisin à maturité dans un halo d'une lumière forte. la feuille qui a nourri cette grappe est maintenant fatiguée, elle prend des couleurs de fin. Oui, les couleurs, heureux, heureux, léger. Rien lignes plus ou moins visibles, les fleurs plus ou moins évident, c'est stable. Ces fleurs, des feuilles de couleur, et il y a la fatigue. Un émerveillement, mystérieux et inconnu de la chute des pétales pétales, et l'espoir et un signe de quelque chose d'ambigu? *** Pierre derrière herbes emplie de leurs ombres. Elle est plate avec une bouche ouverte, dans les lignes il faut chercher un oeil, un front, une mèche. Il est couché, il dort, il est mort, c'est un crâne mais il a l'air vivant. *** C'est le rôle du piano de mettre en place les cercles qui s'entremêlent, se croisent, se cognent. Toute particule empli le carré, rien ne peut être déplacé, ou alors un trou béant apparaît et aspire l'ensemble qui disparaît. *** Quelle est la profondeur ? Il y a bien différents plans dont cette tige nette qui barre. D'autres tiges, plus loin, floues, et d'autres encore, et ce bleu qui serait l'extrême "infini". Quelle est cette lumière blanche qui brûle l'image, on ne reconnaît. La lumière jaune donne une idée qu'elle serait une fleur ! *** Image suivante. C'est sans doute la même fleur. Il y a encore une tige en travers, cette masse jaune, et dans le reste une masse informe qui pourrait être de la fourrure, de la matière en décomposition ou bien d'autres choses. C'est sûrement un fourre-tout de branche, de feuilles, de mousses, etc. *** Entrez la netteté verticale près du sol, des fleurs, voler plus haut que nos mains. Code près de papier transparent, nous avons reçu des fleurs et le vol. Chacun d'entre nous, la vie reste souvent visible sur la vitre. *** Vert ou d'un nuage de pression d'air à seulement un ou deux de profondeur dans la pensée à ce sujet sera lu. Au moins un ou plusieurs parlé. Possibilité de pression d'air est de lire une ou deux pensées sur le grand nombre. Au moins par l'histoire *** Est-ce derrière une vitre, ou devant ? Ce n'est pas la feuille qui importe, c'est la netteté sur elle qui met en valeur tous les flous et les transparences, et les lumières, les quelques lignes et le cadrage. *** Incroyable destin, la flottaison au milieu du bassin, dépend de son obscur lumière. Des clignotants sont aperçus au gré du balancement, le c, le t, toute la forme se donne dans la blancheur finale. *** C'est une prise de vue d'herbe, en plongée, et il y a une fleur trop proche de l'objectif. Elle est une tache qui s'éparpille dans le sens du mouvement, une vibration, de la fausseté pas forcément numérique. *** 10/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 8 poèmes sur photo Je sais que c'est un médicament, tout l'indique. Le petit point bleu donne le format et la distance. Les nervures même incomplètes font que je sais de quelle plante il s'agit. Reste cette étendue de teinte sirupeuse, louche. *** Je dis que c'est l'ombre qui est importante. Elle se balance sur les feuilles, j'en vois une partie jaune, et en bas, je ne sais pourquoi, un peu de chair, à moins que ça ne soit une rose à laquelle il ne reste qu'un pétale. *** Oui, le paysage. Il y a encore un sujet. C'est gluant, c'est collant, toujours et encore le sujet. La photo s'en débarrasse, je ne sais comment. Ce n'est pas le flou qui aidera, le paysage. *** A l'arrache, je vous aurais prévenus. C'est bien différent d'une vue. La grappe gêne, c'est le début de l'automne, l'heure de ramasser les sucs, les grains bourrés d'alcool. Beaucoup ont déplanté maintenant les vignes, enfin, ils ont compris que ce n'est plus l'avenir. *** C'est la chair, c'est le ventre ouvert. Les boyaux se déversent là, c'est une image de dépouillement. Je sais que c'est dur à regarder, c'est triste, ce n'est pas la joie de la vie, c'est l'odeur de terre, plutôt, de vers. C'est le signe de la vie n'est-ce pas ? *** Papier peint d'automne dépendant de l'orgueil dépeint depuis toujours. Il me reste le serpent de lune, qui me convient, dépliant ses frasques bombées et frivoles depuis une éternité dans l'espace azuréen. *** L'intensité éblouissante éclaire le sol la feuille la pierre la terre. Cette irradiation est matière en avant de la photographie, elle compose du bas en haut, peu de diagonale, la netteté est au centre, l'œil aussi. *** C'est la danse des lucioles, décalée vers la droite. C'est une fête nocturne où je suis convié et je tourne encore, dans le noir, personne ne voit, seules les lucioles devinent ce qui se passe. *** 13/03/2011 12 poèmes sur photo (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) Porter la plume et marcher longtemps, sans arrêt, le tremplin donne du fer à tordre. Si la fleur regarde, tout est dans le retour, le regard en aller et retour. Je vois aussi un corps, un sein, une couleur chaude, brûlante. *** C'est la page blanche se recouvrant par vagues. Clarté, transparence rendent l'image chatoyante. La plante est cadrée et le sol coupé net. Les fleurs planent, sont dans l'air, en suspension. *** Je voudrais un bouquet, une composition à dominantes jaune, violet. La lumière du sol est comme un marbre bleu-ciel noyé de lumière. Une plante, orchidée ou carnivore vole en diagonale, avec un point de netteté. *** C'est le désespoir, la nuit sous la pluie. Tout désenchante, les phares dans la boue bleue, le trottoir couvert de feuilles. Tout est humide, noir. *** Je pense qu'il y a une verdeur anormale, mais ça va bien avec les pieds de ronces, de mûres ou de framboises. Je me demande ce qui est net, c'est seulement le premier plan, au final, il y a deux sortes de flous, le tronc, et la forêt, la lumière derrière les feuilles. C'est à la fois un exercice photographique et un regard attentionné-inattentionné, là. *** Ombre reposant sur la pierre. Je suis dans la fraîcheur, à l'abri du soleil. Qu'y a-t-il là, des feuilles mortes, l'une bien verte, une perspective assomante, des branches, des herbes. C'est un détail, je suis très proche. *** La pierre sans notion de grandeur, elle paraît belle et brillante, mais elle est rêche et mat. La beauté vient des deux fissures qui sont comme des traits. Je ne sais pas pourquoi, c'est venu petit à petit, photographier des pierres, les trouver belles, photogéniques, reposantes. Peut-être parce que c'est à l'opposé de la vie. Ca n'est pas vivant, c'est statique, stable, presque éternel. Hors de la mort. *** Des prunes sauvages ? C'est surtout les matières plaquées comme la feuille crème en bas à gauche, les deux fruits et la répétition des autres plus bas, et les flous de lumière, certains ont l'air plaqués aussi, ronds comme les fruits. Tout est faux dans cette image pourtant naturelle, sans trucage, sans flash. *** Une roche au milieu de rien, traversée par l'ombre d'un chêne-vert. Tout est brûlé autour, il reste quelques feuilles sèches sur une branche. Il fait très beau. *** Un paysage sans profondeur, des branches nettes ou pas comme un premier plan étriqué, et quelques éclats pourpre. Je pourrais toucher cette matière, la malaxer, peut-être ?! *** Voici une autre façon de brouiller l'image. Le premier plan n'est pas dans l'épaisseur de netteté, entre les deux rives du ruisseau. Reste des fantômes, des mouvements, le vent. *** Des lignes, partout des lignes! Il faut reconnaître que c'est une composition faussement plate qui part d'un cyprès derrière un poteau électrique et qui s'en va vers la droite en diagonale avançant. *** 14/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 9 poèmes sur photo Fraises, framboises, mûres, en passant. Tout est devenu un endroit curieux alors que le sol est net. La folle avoine donne du rebond. *** Avec d'autres, découpe dans l'herbe, elle est comme une ligne verticale dans la direction opposée des différences importantes entre les diagonales. Certains jaune, l'un des meilleurs. Ouvrez fenêtres herbe féerique. *** Le flou de feuilles, le sol est décrit. Le sujet est la parallèle, droite, en diagonale, en perspective. C'est construit comme ça. *** C'est évident, quelque chose est lisible, on voit bien que je suis au sol, le ciel comme fond. *** Discrète, une nervure blanche sur une flaque de vert. Il y a toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, d'ailleurs. Malgré la quantité de flou, je suis bien en présence d'un lieu, d'un paysage. *** Je suis tombé, le nez au sol, j'ai vu des fleurs jaune, en forme d'étoile, une pierre tranchante, des herbes qui se rassemblent. *** C'est un mélange de matières dans un mouvement circulaire, prise vive. Je ne sais pourquoi certains endroits ont une présence et d'autre ont une certaine absence. La verticalité ne semble pas figée. *** Très forte enveloppe à demi rectiligne, défiant les karibous enfantant des chenilles siphonnées. Il faudrait taire les éclatements terrestres dytirambes comme un jeu. C'est bien un paysage avec feuilles, lumière et ombres. *** Je l'aime. tout est dans le même flou, pas de netteté, une pierre, deux brindilles sèches, quelques herbes qui traversent, deux feuilles dans la diagonale. Rien, quoi, un regard sans attention au sol, un peu rouge. *** 15/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 13 poèmes sur photo C'est le bord d'un chemin, des herbes sont sèches, mais tout est bien vert. Tout est comme un bouquet, d'une façon classique, centrée. Cette photo donne une idée du printemps. *** Le prétexte de la ligne qui traverse, mais c'est surtout la séparation qui semble importer. Il y a deux espaces séparés par ces fils barbelés. Les coquelicots répartissent le hasard en animant le rectangle. *** C'est un espace sans fin, all-over, le cadrage rend compte de cela. S'il faut du fromage, c'est bien à base d'herbe. Ce sont les parallèles qui donnent envie de rester fixé sur cette image. *** La feuille d'érable coincée, le rond dans le rectangle avec la virgule ou l'accent grave. Les couleurs sont charmantes, elles coulent. Il n'y a pas de conserve, que des cailloux. *** La roche pour mettre en avant la lumière, juste avant l'été. Des plantes en profitent pour prendre deux fois la lumière. Les ombres qui en découlent plaisent. *** Quelque part, des branches coupées, abandonnées. Un rond, du mort, du vivant. Du lierre, de la mousse. Equilibre par la longueur du levier. *** Du gris partout. Composition centrée, glissant légèrement vers gauche, des traits, des bosses, des cabosses, des petits morceaux, des gros. Du gris partout. Plongée au sol, tout est mouvant. *** Une photo plantée là, c'est ce que j'aime. Le regard posé, relaché. Rien ne compte, là, juste le regard sans accroche, qui se balade d'une aiguille de pin à une autre. *** Elle est grande, développée, prend le maximum de place, un peu usée de se frotter sur d'autres. Simplement pour ça, pour la lumière, pour jouir. *** Un point sur un visage, c'est le nez, la bouche ?! La dureté est sensible, granuleuse. Les verts ne sont pas très naturels, l'ombre cache des animaux. *** Une image plate. Même si l'oiseau est présent, la ligne dessine. Le premier plan est flou, discrètement. La pierre est dans la terre, les mousses font la liaison. *** Cadrage sur feuille déchirée, entre ombre et lumière. Droite, ferme, tourne à plein régime. *** On n'a plus la direction, quel est le sens, à gauche ? Tout glisse, les couleurs noient l'ensemble, plongée, contre plongée. Plein de petits cailloux, et bien d'autres, et un gros. *** 16/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 8 poèmes sur photo Volume, sculpture sans profondeur, mutilation ou régénération. Temps pluvieux, fond proche, créent une intimité avec le sujet. Le vert, les branches et les feuilles ne viennent pas de ce tronc. *** J'ai un intérêt même si j'ai déjà fait cela. Il est question de transparence, de premier plan net et d'un fond flou. Surtout pour le brouillage, le désordre, le cadrage qui fige ceci. *** Un mur pour une barrière, à défaut de visage. Je vois les dents et le dentier, fissurés. Il dort, paisible, à l'ombre. C'est un cadrage on ne peut plus simple, carré dans carré, les couleurs sont à peu près artificielles. *** Dentelle, fraîcheur, et motif. Le feuillage glisse dans la perspective et les tâches de la roche. Des mousses, des lichens s'harmonisent avec les ombres. *** Couleurs subtiles, le vert, l'orange et la profondeur de l'ombre, indique vers le soleil la fleur, jaune si mon souvenir est bon. Tracé de contour sur une surface on plane. *** J'aime la force, le volume, la densité de ce tronc même si le point jaune détourne l'attention. Le paysage qui est dans une densité différente, venu d'ailleurs, donne l'atmosphère lourde de fin de printemps avec sa luminosité. *** Pas de profondeur, une surface contenant des dessins, des lignes, des teintes, des matières, des ombres de la pierre elle-même et d'herbes hors cadre. Peu de choses, indiquant un regard porté sur rien, là, qui ne bougent pas, mais qui pourraient. *** ça balance! beaucoup de choses, brouillées, des tâches, des ombres, mais des tiges aussi, vivantes et mortes. Tout se balade, tout se balance d'un côté et de l'autre, même la roche tourne. *** 17/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 2 poèmes sur photo Transparence après le premier plan des bourgeons des branches filiformes, transparence de l'eau et des reflets de celle-ci. Image mise en place par le pont et son arche et les deux bordures de ses rives herbeuses, cadrage penché pour image droite. *** Un désert pris en photo en voiture, en train ? Quelques nuages, peu. Plonger dedans, ou rester éloigné, vaguement envieux ou pas rassuré. Début pour un paysage. *** 27/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 12 poèmes sur photo La neige au mois de mars à Montpellier. Au cours d'une balade, certaines parties plus chaudes se laissent découvrir. Là, des mousses au milieu de pierres commencent à revoir le soleil. *** Le pin n'avait jamais vu ça. La terre est chaude autour du tronc qui semble posé sur son socle. Une image pour faire croire, et j'y crois. Tout se décolle, il va tomber… *** Comme une série-photo vu : mur-tronc! Je me mets à la place de cet arbre à côté du poteau de sapin sec, mort, fendu, droit, utile. Le vivant est plein de couleurs, de sève, de branchements. *** Petite fleur presque invisible sur laquelle tout le monde marche. Vivante, cette plante dépend du peu de quantité de pas posés sur elle. Emouvante, rustique, elle tire la langue par provocation. *** Un mélange de surfaces, certaines plus anciennes, en plis. Sur cette photo, des traits, une route, un arbre. *** Un signe, un nounours dans l'ombre, tampon de copyright. *** Ce tronc pour boucher la surface de la photo. Trop près des richesses, ombres et lumière, du rouge, du jaune, du bleu. Le micocoulier penche dans l'image, le fond laisse échapper le regard. *** Des herbes de l'étang crissent sous le vent, structure sous forme de lignes pour donner de la force aux flous. *** Image vibrante, félicité de l'herbe comestible. La main tremblante de ce portrait véridique, sans posture, poilue, en déconfiture dans la droiture. *** Dans la nuit, un bain de verdure, comme un contact avec la terre, en s'y enroulant. Les mains dans la fraîcheur, mille lignes. *** Symboles de solitude, ces arbres, ces branches, je ne sais pas trop, sont d'une tristesse... La pauvreté, ces troncs qui bouchent la perspective, qui séparent, et qui dessinent. Peu de couleurs, un bas, un haut. *** Ce qui compte, c'est le motif avec ses quatre couleurs, ou la sensation de la masse mouvante, gonflante sur la gauche. Encore une prise plein cadre qui laisse à peine deviner le paysage. *** 28/03/2011 (Texte fait d'après les photos et passé dans un logiciel traducteur) 18 poèmes sur photo Une séparation. Des barbelés, des ronces. Une prise en charge de la composition, déséquilibrée, vers une ouverture en haut à droite élastique. *** Plein hiver, temps boueux, couleur sans envie, sur la surface figée, fixée par le reflet à gauche, les herbes mortes dessinent leur éclatement, Ce n'est que du trait, toujours. *** Contours théâtrals, décor de fond de scène. Il y a une réverbération lumineuse sur les objets. Il s'agirait d'une frontière, d'un passage. *** De l'eau, en transparence, ce qui brouille l'image. Le fond de la rivière est mouvant, hors clarté, les galets se discernent avec peine, je comprends la perspective, le sens du courant malgré les remous, les allez et retour de cette eau. *** Le flou donne une impression de perte de la réalité photographique. Les lumières sur les branches se diluent, s'étalent comme de la matière, prennent de l'épaisseur. Les différentes teintes les unes envers les autres sont irréelles. *** Ce sont les reflets et les ondes qui brillent. La feuille est un point naïf. Le fond est de sable, même si je n'y crois pas vraiment. Il y a une forme de croix qui maintient la construction, elle ne dure qu'un instant. *** Brouillage complet, en plus rien n'est net. C'est en passant, j'ai dû sentir le contraste entre le bas et le haut de l'image, la différence de perspective également. La photo semble droite et équilibrée, stable, et cela grâce à (ou malgré) l'arc de cercle d'une ronce. *** Genre de photo que je ne comprenais pas, ce premier plan flou qui gâche l'image. C'est devenu une matière lissée, différente, en contraste du fond très détaillée, bourrée de formes et de teintes minuscules. L'équilibre est simple et très structuré, comme des fenêtres. *** Une clôture. Equilibre est basé sur le rapport entre la légère perspective des fils et le décentrage du piquet. Le thème central pourrait être le pin au pied de cette clôture, ou le tuyau qui se termine là. *** Un rayon de soleil glisse sur ce sol dégelé. Les pierres sont engoncées dans la terre, ou, la terre s'est soulevée en laissant la pierre collée au fond. On retrouve le principe du contour noir, et il y a un bazar de brindilles, d'aiguilles et de bouts de paille. *** Image extrêmement rêche, pierre sèche, ronces sèches, lumière directe. Cela est dans une clarté bienveillante, la couleur parle de plage, de détente au soleil, de corps coupés, fouettés, sanglants. *** Sale paysage, très bof ! Vue classique de la Région en hiver. Impression de sécheresse, de pauvreté. Pas de culture, la nature en elle-même. Deux pauvres arbres, cherchant à se faire une pauvre ombre, les quelques branches dans tous les sens. *** Une verticalité horizontale, une coupure en deux, des diagonales arrondies, quelques taches placées, du rouge et du orange. Quelques rayures, le bord du chemin ou la paroi. *** Image renversée, je perds la notion de pesanteur et de perspective. C'est pourtant assez plat. Je ne sais ce que sont ces taches, des mousses, des restes de bestioles séchés ? Les rouges et les blancs. *** Peinture sur pierre, partie de mur dans un village du Sud. Ne représente rien, n'est pas une présence, c'est de la matière, rendu précisément, dans son glissement vers les bords. *** Des herbes batifolent, ou c'est le photographe qui vacille. Un baton donne le départ, tout tourne de là, l'ovale plus bas, à droite, en pendant, et toutes les directions viennent de ce baton, de son être-là. *** Tout est trop humide. Chercher dans la mémoire les temps chauds, la terre sèche, la canicule. Là, tout glisse, tout dépend de la pesanteur, le contenu collant le contenant, le sens n'est pas certain. *** C'est un déploiement d'herbes, de rampantes, la barre de fer permet une verticalisation, d'en rajouter. Rien d'intéressant, tout est sec, quelque chose métallique gâche la nature vierge. Une plateforme, une portion de lieu, un endroit. *** 03/04/2011 (Texte commentant les photos et passé dans un logiciel traducteur) 7 poèmes sur photo En voiture, une ligne d'arbres derrière une autre, en diagonale. Toutes les branches vont dans le même sens. La chaussée est mouillée. *** La barrière est levée. Signe coloré. Entrée d'un chemin, bloc de pierre et feuillage abandonné. Au fond, un horizon dépasse d'un mur. Sujet de rien soutenu par ce rectangle rouge. *** Herbes au flou scintillant du premier plan. L'étendue est plate, toute la partie verte est peu profonde. Seul le ciel et les nuages ceinturent comme il se doit. C'est faux, et pourtant j'étais là ce jour de décembre. *** Comme une prière, un bas-relief, la représentation d'un visage. Pas d'épaisseur, mise en lumière de ce foin de bordure qui donne sa version du rythme. Des herbes vertes sont bien là ! *** Siphon, cyclone, double aspiration vers le fond de l'image. La profondeur, le volume existe entre le premier plan et les pierres en frottement déportées sur la droite. L'aspiration est tourbillon. *** Les lignes sont noires, et sont pleines de lumière. C'est comme une construction, comme un abri, des herbes qui traversent le champ, tordues. *** Une diagonale franche, le flou ne gâche rien, un prétexte de mise au point sur des herbes de bordure dans l'humidité. Hors de portée des chevaux, la zone bien délimitée, électrifiée, deux parallèles fixées par ce piquet. *** 04/04/2011 (Texte commentant les photos et passé dans un logiciel traducteur) 5 poèmes sur photo Entrez dans le bain de cette prairie. La couleur enveloppante fait du miel, l'image elle-même est collante et odorante. *** Le trait rouge, une diagonale, une perspective dans l'image, les herbes aussi donnent un sens, vague à droite, demi-tour à gauche. Quel importance, pied de poteau ou piquet noir ? *** Fils étirés, tendus, le vent courbe, fait des vagues. Ou, surface rayée, visibilité restreinte. C'est une partie, seule signifiante, d'un monde de deux mille pas. Il faut s'arrêter, et là, décider de fixer le vent et la profondeur. *** Tout fait de rayures, le sujet est presque illisible. Non, c'est le sujet qui raye et brouille, comme une écriture, penchée, en travers, de droite à gauche, d'un coin à l'autre, vers quelque chose de bleuté. *** Carré d'herbes sèches entre deux poteaux disparaissant. Il tient, il tombe, en travers de l'image, tapis horizontal remontant en fond vertical, comme un décor faisant disparaître la nature. *** 11/04/2011 4 poèmes sur photo A l'abri, un parterre enchanteur dans un temps gris. Il fallait la faire, tout est bien, sur la base des toits d'ardoise. *** Une ligne surtout, qui raye l'image, qui raye le flou général, seul repos de l'oeil. Ou aller, sinon ? De gauche à droite, dans l'épaisseur duveteuse, captivé par les taches blanches ! *** Route trop ensoleillée, image voilée, en montée, reste trois diagonales, trois surfaces, pauvres, comme une vue perdue. *** Un peu pâle, basée sur le dessin de la route, et même sur les fils de téléphone, l'alignement des poteaux, l'alignement des peupliers qui suivent la descente d'une route perpendiculaire. Image déjà aplanie, ramenée en partie aux deux dimensions. *** 12/04/2011 9 poèmes sur photo Comme une image imprimée, vibrante, aux traits épais. Tout est flou, tout est net. Cadrage justifié, point blanc décalé, deux lignes verticales. *** Une portée de vert, barres noires en chiffre, plante hirsute. Signal de départ, Envie de glisser le long de cette image. Décision ferme, réfléchie. *** Une image avant tout, c'est la représentation d'un oiseau en vol. L'oiseau est-il dans l'image, ce petit point blanc. Ou, l'image serait-elle la vision de l'oiseau fixant le sol ? *** Avoine, vide. Les graines tombées, transportées par les animaux à poils. Enveloppes frémissantes, légères, vides. *** Photographie crémeuse. Pas toute la nature, une surface identifie la présence humaine, arrêtant le balayage éperdu dans le viseur. Un point de netteté, discret, prétexte. *** En passant, en voiture. Le vert donne la tonalité, image à l'ombre et lumière du mois de juin. Volet fermé protégeant de la chaleur. Y a-t-il autre chose, comme dans la construction des différentes surfaces, avec les carrés, les rectangles, les lignes verticales ? Peut-être aussi dans les différentes profondeurs. Et ce poteau qui semble ajouté ? *** En passant, en voiture. Prise de quelques aspérités, poteau, compteur, goutière, mur lépreux et quelques plantes, belles de nuit ? Le bout de rétroviseur, comme premier plan, bonne distance. Les ombres semblent se blottir. Tout cela accroche l'image, celle-ci est fixée. *** Photo arrêtée, de mouvement. Zoom, balancement, mais rien n'est net. Au hasard de la lumière et du passage du papillon. *** Le sujet, les panneaux et les feux, très visuels. L'image n'est pas tout à fait parfaite, il y a des reflets, quelque chose de brouillé, le soleil tape sur l'optique ou sur le pare-brise. Le cadrage, désinvolte, ajoute à cette idée de photo vite faite, en passant, avec, bien au milieu, comme seul sujet, ce carré jaune-blanc-noir, inutile, puisque les feux fonctionnent. *** 16/04/2011 18 poèmes sur photo Eclat déferlante tache. Mouvement du vent du photographe ? Une fleur contre un mur. Frottement de feuilles, frottement de couleurs transparentes, c'est cadré pour ne plus sortir de l'image. *** Feuilles de marquage fils de soutien angle d'entrée perspective fuyante un deux trois plans trois directions ou plus... proche du sujet vraiment. Bouton prêt à éclore. *** Trop proche du sujet, c'est une déformation, l'image gonflée au centre, tout est net, rien n'est net, clôture ouverte, image barrée. *** Le coquelicot et le pollen, vertical, une opacité. La couleur couve, a capté l'empreinte. *** Proche de la fleur, tête contre tête, penché, manger la fleur, ivre. *** Des lumières parasites dans la nature, développement d'une plante accrochée à la terre. Reste le sol qui s'ouvre, se replie, mastiquant, digérant, malaxant. *** La pente sans pente, sur-éclairé, en marchant, zigzag au soleil, de la tôle rouillée comme abreuvoir, détestée, un berceau. *** Suite, le paysage dans le sens, grain fin, enveloppe charnelle et fuite à l'horizon. *** Palette, truelle, taloche. Enorme, instruments de construction de la surface. *** Elle emplit, s'approche, volumineuse. Imprimée, tige et fleur, bascule en avant. Courbe et pointes rouges. *** Motif à décoration répétitif. La fleur sèche casse le rythme, établit une construction, appuyée comme traits, ferme, francs. Et une tige traverse. *** Des lignes et des flous abstraits, répétition de mouvements courbes, direction en traverse pour un cadrage trop étroit, c'est le portrait souriant. *** Sombre transparence, délitement du carbone, papier sale, fleur sans volume, bouton. Tremble, vibre. *** Un paysage craquelé, des points qui sont les pommes de pins, ma vision glisse, bouge, dérape. Petits grains, fines lignes, tracés, représentation en paysage. *** Plaquées comme dans un herbier. Tremblantes, couleurs passées. Plein cadre, serrées à droite, plusieurs contours en transparence, en silhouette. Ouvertes. *** Mouchoir jeté, forme informe. C'est pourtant une rose, elle est au milieu d'un fond d'herbes sauvages. En plein centre, une fleur moche, une belle photographie, une belle fleur. *** Le grillage en motif de vagues, la toile en trame, le lierre envahissant devant et derrière. Les piquets rythment, l'enrobage se tient avec l'image "brûlée". Morceau, partie de clôture. *** Le hasard a permis cette perspective, cette clarté dans un fouilli d'herbes sauvages. La feuille en haut à gauche (couvrant une certaine lumière parasite) donne la direction de l'image, diagonale vers le bas à droite. Le vent semble suivre cette direction, ainsi que les herbes et les fleurs. La couleur est répartie donnant presque deux images, à gauche, vert, à droite, sec, mur. *** 18/04/2011 5 poèmes sur photo Un tronc, masse opaque, dense, ou légère, transparente. Juste une surface sans opinion de profondeur. Presque une trace. *** Une pierre, une branche, sujet idéal. Dans le temps et le mouvement de la marche, brusquement ils se dédoublent. C'est frénétique et c'est fixé. *** Ce n'est pas une histoire d'étranglement de ce tronc par les fils barbelés. C'est une histoire de puissance et de vivacité de ce tronc en contraste avec les piquets l'encadrant. Il est présent, c'est une présence-absence, sa mousse blanche et jaune. *** Une pierre et une branche. Plus le temps, c'est maintenant, vite, quitte à ne plus comprendre. Au moins c'est fait. *** L'instant décisif, l'aura, la puissance d'un tronc. Branches en ombres. Et zoom! *** 28-29/07/2012 (Texte sur un poème de Thomas Bernhard, mixé et remixé dans un logiciel traducteur) Derrière les arbres Derrière les arbres est un autre monde, Prenez-moi pour se plaindre. Rivière de prendre mes rêves La rivière est silencieuse, quand le soir dans la forêt je rêve du Nord… Une fois l'arbre est différent. Mon père s'est converti à deux oiseaux, Ma mère au panier Mon frère est allé dormir. J'avais sept ans, et ... Derrière les arbres est un autre monde, une herbe qui a le goût du noir, soleil noir, Lune est mort. Un rossignol, qui a gardé pleurnicher pain et le vin cruches échelle et le lait capturer la nuit. Une fois l'arbre est différent. Ils descendent la piste. Villages, des forêts et des milliers d'années. Demain, ils se soucient de moi. Ma musique se fissure lorsque le blé se brise, où il ne reste rien aujourd'hui leurs chambres, les salles d'attente et sacristie. Je veux aller. Je ne veux pas parler. Dans mon propre domaine, le soleil sait me protéger, je sais Je suis venu trop tard … Une fois l'arbre est différent. Cour. Les villageois dans le bain, piscines, et mort vers lard fondu lentement squelettes rouges, Pas une roue de moulin âme secousse, et le vent vent … Derrière les arbres est un autre monde, le pays de la pourriture, le pays marchands Laissez les pierres tombales. anéantiras un meilleur sommeil. vous buvez, et vous dormirez Matin et soir, du matin au soir. et il n'y a rien à comprendre, et non pas de la rivière ou noir; pour les arbres demain et sur l'horizon, demain est un autre monde. *** 05/08/2012 Défaire sécheresse et poussière le terrassement la montée de fer ombre et repères dévoilement tracer dans le blanc crayeux tourner droit détendre et courir objectif voir pierre en fond plus tendre herbes et plantes sèches longeant prendre sur le plat ne pas oublier défaire et avancer tout fou la ligne la fatigue se pencher en attente ça se redresse maintenant changement et bois ferraillons bagage autre temps scroller mauvais espace retournons marchons clarté des heures pourquoi pas enjamber et défaire c’est le repli enjamber départir il faut onduler et parfaire la dépendance aux roseaux si parfaite verticale *** 06/08/2012 (Texte écrit après coup, en regardant les photos, et surtout en me remémorant cette route.
Ce texte est ensuite passé dans un logiciel traducteur plusieurs fois, puis un choix) En route pour Lectoure Journal d’une vague de route et le paysage virant à droite et de niveau, on glisse, tout roule, la route est ondulante, souple, jamais droite et plane, l’endroit est toujours en vague, courbe et hors niveau. Le paysage est toujours difficile de savoir si, la première fréquence élevée d’électriques nuages, options de jaunes, les nuages, poussés, le ciel, mais, et pourtant le rythme de l’enfant électronique, mais ces pièces, photogéniques, autre chose passe, toujours, n’est jamais vide, une simple pression et puis il prend l’idée, et tous sont en l’air, ne vous donne qu’une réponse pour tri. *** 07/08/2012 (Textes piqués dans "Le Discours aux animaux" de Valère Novarina, [éd. P.O.L]
et mixés plusieurs fois dans un logiciel traducteur) Les animaux Animaux, nous donnons toute notre gloire dans le trou près du corps. Les animaux peuvent avoir une muselière,
j'ai entendu ce que j'ai dit un seul mot sept fois mâcher sur eux-mêmes : abandonner, de quitter ce monde,
et de parler dans le silence. *** Les vestiges de la vie, qui sont discutés ici. Il se produit pour éclairer la matière noire qui donnent le
sentiment de la torture. Ainsi, chaque matin, j'ai étudié les déchets humains à dépenser. Mais je ne peux
pas trouver des traces de leurs cris, ni de leur étape. Cependant, le silence est là ! Voir la vérité de sa peine
graphée encore l'asphalte, «je suis accablé par le chirurgien comme les enfants Loutron *** La vie animale, avec vos mains dans ma tête pour former un cône d'entonnoir plongé mes yeux, mes yeux, je vous
remercie ! Maintenant, nous entendons entrer mes yeux, la voix dans mon oreille. *** Les enfants, pour vous, lorsque vous prononcez mon nom est venu à l'enterrement du cœur, mais ce n'est pas la viande,
est Lobu Jean, toute générale, le temps de réciter la vie de votre vie dans la validité de tous les vous,
tous vivre, les animaux vivants de discussion n'est pas, ou-ce que Jean : la plupart d'entre eux sont absents de l'homme
afin de vérifier si revint le vrai nom de la salle et qu'il avait en tête. Enfin, enfin, parler de dire ! *** Dans trente jours je me suis senti très fortement des objets morts, et demandé à mon corps et chaque corps d'un animal
mort à l'air libre devant moi. Et chaque jour, j'ai rencontré à sa demande et tous les pouvoirs de
groupes d'hommes a rencontré ici et là, à ce jour, y compris moi. *** Plus tard, je l'ai appris à travers le trou à la place, ils m'ont emmené, ma bouche a été fermée, voici comment je ne pense
pas qu'il, dormir dans sa voix, la voix de la raison et le monde, le son de la voix, ici était comme vous. *** Un jour, j'ai perdu tout intérêt de manger de l'homme. J'ai suivi pas hérité. Quand la cloche a sonné: «fossoyeur gras" que j'ai
entendu, je ne suis pas le chef de file est grand. Puis je l'ai dit, "les animaux qui apparaissent
dans l'âme, et pourtant il y a toujours un groupe d'assassins." *** J'ai écrit mon développement et de la destruction, comme ces choses avec soin, et de nombreuses fausses simulaires et à inverser. *** Animaux, animaux, faut que je vous dise pour terminer la somme de la dictée finale des bêtes du monde qui sont. Une tonne
de son est la somme et le son terminé des choses plus bêtes que tout. Car nous ne sommes que la dictée des
sommes des bêtes du monde, lequel monde nous supporte comme il peut. *** J'ai écrit mon développement et de la destruction, comme ces choses avec soin, et de nombreuses fausses simulaires et à inverser. *** "J'ai mangé ma mère en deux qui est celle des cieux ; j'ai vu mon père tout boire par terre : né de chair je suis et tête
dans la poussière. Témoins qui assistez en vain à ma vie, une fois ma mort toute morte, gardez mon corps
en immonde monument : il est en vous." *** 08/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Essai archéologique Parasites, image ternie Entre manger de l’herbe et le texte coupé Les pieds et les jambes sur une grande échelle, mais par une agitation dans l’air La sensation serait que la pierre essai archéologique trésor de temps à l’objet, dans le passé *** 09/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Les stratégies Quelles sont les stratégies C’est alors seulement que vous avez, ce que les photos que vous avez tous oublié votre mot de passe,
allez le trouver Trouvez l’emplacement le plus proche si vous n’avez pas beaucoup à y regarder ne fait aucun doute
qu’un grand travail, mais qu’en est-il des yeux Nous nous présentons devant nous, le temps de réparer ce qui est d’être au moins le désir de servir,
et l’emplacement de l’intersection est unique Nous nous présentons devant nous, le temps de réparer ce qui est d'être au moins le désir de servir,
et l'emplacement de l'intersection est unique. et la terre retournée au lavage Grenier Assas ici dans le sol du désert, une petite place, un rien de spécial, les plantes et les
rochers, intéressantes, mais la ligne horizontale Ce problème, on est seul, les plantes, branches, pierres, pas le coin Tout présence spéciale *** 11/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Aiguilles de pins Quelle est la magie. Allez voir la photo, ce sera seulement après cela, quand tout sera oublié Les yeux doivent rechercher un site pour en faire partie. Il devrait y avoir seulement le désir minimal
de résoudre ce qui est devant, l'intersection entre ce temps et ce lieu unique Les yeux doivent rechercher un site pour en faire partie. Adapté dans un espace dans une forêt de pins,
n'est rien de spécial, pas de plantes, pas de roches intéressantes, des lignes droites et des lignes de lumière, plus ou moins Aiguilles de pin, d'importantes sur le sol, des branches mortes, des piliers Tout est là pour ne pas se divertir de la présence *** 12/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Important Ceci est important Si vous oubliez tout le reste moniteur image pelle Voir la partie de la nécessité, il n’y a rien qui pourrait, mais dans l’œil Définir ou souhaitez tout simplement quand il s'agit de temps de lieu de rencontre et pendant une certaine période est unique Ici aussi, rôti, dans l'espace culturel De bas de la colline, quelque chose de spécial, et les raisins, le maïs, les pierres intéressantes, uniquement pour les tables et forgé Cependant, le pays des arbres et des troupeaux de fidèles aux bords courbes du trajet complet du mystère Maintenant, ils sont de différentes manières en fonction d'une bonne, une végétation luxuriante, apparemment, de la largeur de la route, il semble un autre Lez Être poli, mais ce n'est pas, par exemple, la haie d'arbres liés Tout cela est connu *** 14/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Montagne en triangle Hop, j'ai vu cette pierre, aucune infraction, il suffit de remplir la paume tranchée. Je l'ai mis sur
un rocher pour tirer. Soulève le paysage, montée triangulaire. Il y a une façon, aussi, à flotter juste au-dessus,
bruits de fond. Il reste tard dans un feu ou quelque chose comme ça ? Entouré par étoile bleue de branches, de feuilles de chêne sur la chambre verte, sec, gris. Pour attirer
les insectes, ce qui a été coupé afin de mettre un liquide à un animal qui est coupé! Bouteilles écrasées pieds. C'est avec de la pâte, du liquide peut être rempli, vous pouvez voir un blanc,
mais transparent. Fait intéressant, je me suis cassé le cou. La couleur est présent dans le sol pour fournir de
l'espace dans la chambre Le vent glisse le long, le vent déplace le rocher où rien n'accroche. Végétation pour le mois d'août à sécher.
Ce n'est pas pour rien que l'énorme écart des distances infinies, que le décalage est énorme Brillante, facile à lire, l'image de la pierre est prête à prendre une blessure au dos, mais la lumière est placée.
Vent sur l'herbe au premier plan, apparaît sur la gauche, est tout à fait vrai C'est la dernière image de l'habillage en pierre graphiques, maison, des lignes et des volumes. La croissance
rapide dans la fenêtre de l'inscription dépend de l'écriture rapide des Alpes, mais du point de vue de la pomme *** 15/08/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Petites images Petite image, Monsieur Hi miniature, dit que le chien se dirige dans un commentaire standard La réverbération libère une entité organique vers le haut, entre chlorophylle et cellulose. Posté là, il
ne peut se libérer de l'espace présent Les aiguilles de pin, des chevaux, inutiles jusqu'à l'explosion finale. La poussée se déchaîne vers le haut,
exubérante. Le soir, ne peut montrer quoi que ce soit Mais assez parlé de moi! Du gravillon, une plante malgré tout est apparue, comme si tout allait bien. Par conséquent, il n'y a rien
qui est par sa volonté En fonction de la différence de deux ou trois soies, et, lorsque cela est possible, à partir de deux triples.
Poids suspendu C'est drôle, il n'y a aucune chose. Le métal accroché, a été perdu après, désespéré de perdre une carrière.
Joue un certain point de vue Bon usage! Graines mûrissent pendant un certain temps. Midi et le mélange de différentes options, terre
nourricière. Permanent Je ne sais pas si vous avez déjà joué une surface, les plans sont bien séparés. Flou de régime de base,
arrière-plan flou, avec une épaisseur de chaîne courte, il bénéficiera de la construction du sens *** 03/09/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Pas aride Je peux la plupart des plates-formes, c'est un peu d'ordre aujourd'hui, plat, littéralement, parce que mes photos ne sont jamais figurées à plat, elles sont toujours pleines de choses à voir beaucoup, elles ne sont jamais vides Je ne sais pas à propos de moi, mes photos, a-t-il dit, quand nous disons que mes photographies sont arides, c'est pas comme si ça me dérange de savoir que, au moins dans le sens strict du tout sec, et dans un sens figuré,
on peut demander. C'est seulement la question Mais quand il s'agit de photographie, la matière va, mes photographies ne sont pas du tout arides Donc, aujourd'hui, n'est pas un cadre, n'est pas dominante, en ligne, sans perspectives, sans diagonale, etc. est un cadre sans flotter partout sur le cadre, et cette décision, autant que possible, c'est vraiment aussi facile que je dis, mais je ne peux pas *** 03/09/2012 (textes mixés et remixés dans un logiciel traducteur) Mains-Paysages Le choix a été fait paysage, un arbre centré, heurté. Main tombe dans la photographie Main dans la main, non ? De coupe ne connaît pas les feuilles tombent, l'image est poussé par la main
pour décider Rien à voir ici, fait partie du paysage, rien ne manque, l'image de la main pour être prêt pour le châtiment
de l'image. Équilibre, les choses à voir! Ou à la main! Côtes levées, parapluies, crochets de résonance, la matière noire est en cours, ce qui fait
défaut dans l'organisme et la pierre, du soufre C'est le sol qui gonfle chaque maintenant, et puis, à défaut d'un mélange, de petits défauts doubles
emplois Il pousse dans la main, à diffuser les connaissances. Selon la teneur en calcaire, rugueux, il s'en
détache dans une peau lisse et douce Il a sauvé le ciel, les cieux qui le découpe dans ses nuages. Troisièmement, disons, vent
excédentaire Sans aucun doute, ... sous vide, selon le contexte d'une formule, ne sont plus soumis au temps
et à la distance Ouvrez un vide de fond de page, articulation disparue, et le droit, le feu à gauche Carré en coin, loin des clichés dans la victoire, pour arrêter les signaux manuels que la distance
verticale ficelle, entre le bord de la plaque Coup de pédalo, en entente de tourner vers le bas et d'enfiler l'espace défait pour un temps nouveau
avec changements décisifs Ce n'est pas une question qui devrait verticaliser pour apporter une évidente clarté et ciseler
la page blanche recouverte de nuages, clarté claire et hachage des parties blanches *** 09/09/2012 Hommes et bêtes Des hommes et des bêtes Le tronc, allongé, les bras, rampant Ombre du pain, membres descendants, le fluide aérien Une bourrée, tournant, accent mis Boum, érosion, refaire en pratique la même Revoir en rêve la pince Poupée éternelle « la boue » Eau, sable et terre. Brindilles, branches, l’étang Des lignes étirent Ombre plus ombre ! Peu importe de quoi, le noir fixe Découpe, isolée, la vitre de l’optique sensible Plein soleil, perspective perdue L’animal par l’oreille, par la patte, regard vitreux Et la tête, dans le remous Collé au milieu Un oreiller pour penser Le lieu trouvé, luminescent Trou, une obscurité, dans le vent Il est dans le ciel, développé en plan *** 13/09/2012 Bien la vision Paysage, bien la vision à l'endroit à l'envers Terre, mer, toile, nettoyage, sable et gravier Pour trouver l'écaille, faire le lien et gratter Paysage. Bien croire en la lumière et comprendre l'origine Crotte, voilà tête et linceul Et l'écharde, prise sans attendre, avec volonté enchâssé, perte et accroche, descente en principe *** 15/09/2012 Saleté de beauté Ouverture de porte, saleté de sol, branches et ombres, je ne peux plus me dépêtrer de cette brouille Enroulement de fils, tracé, défaut sur le fond et brouette en avant, décrit C'est une masse, sans cadrage. Entre deux. En apparence, il bouge, la surface ne sait plus Tête à l'envers. Ce n'est pas une dépendance, ce ne sont pas des restes, ils se défendent de n'être qu'une image Là est la construction, sous la croûte, bien à plat, ordonné jusqu'à l'écran, changer En arriver là, un glissement, rien à dire, une beauté, des références sans pesanteur *** 17/09/2012 Une mouvance à entrer Une mouvance ou mouvant et une clarté inhabituelle dans un endroit perché reflet, un miroir, en suspension. Des frondaisons au bord, en avant. Nœud, etc. Ce n'est pas vrai, l'eau n'était pas là, la mousse et tourné à quatre-vingt Sous et dedans, en travers dans l'épaisseur Nounours, du raisin de Bacchus, filiforme. Un marteau à l'arrêt Une couleur qui dépasse, des tonnes de choses et un ensemble à rentrer *** 18/09/2012 Transparence entretenue Une histoire classique, un chemin à travers Transparence le ciel, échappées vers les feuilles Défaire et refaire, dureté des lignes, canevas déviant, blouse argentée puis le temps devient plus long, les nappes s'étalent Paysage, inaperçu, bien dans le sens du repli Regard le sentier, étrenne avancée, en découdre fortement Les bien-faits d'un temps entretenu et démuni. *** 20/09/2012 Ensemble ivre Il faut différer la masse et se préoccuper de l'ensemble comme un portrait On se dévisse, et se courbe, et se tord, à travers Dégagement transversal, comme une traînée, emportement invincible C'est une difficulté qui fait forme, attire l’œil dans son étirement Ivre de battement, construction en ronds, une est arrivée, pour faire sédiment *** 21/09/2012 Vermine engloutie Au début, il y a un trou et de la vermine Tout différent, dans tous les sens, pause Un renfort, bien peser le pour, fondement Étirement, la projection à plat, en perspective, un peu démontée Mue, désagrégation, coupe, encore du bois Dans le courant vertical, il y a un suivi Alors qu'une boule sur le terrain, divertit Façon de naviguer, en arrêt de décision Nous repassons sur un plan droit, et la viscère n'est plus une matière Ça, c'est du bois, une fois c'est bien A côté de tout, se réjouir du centrage Tartiné sur l'ensemble, reste peu d'espace Photo ou scan, documentaire Dans la masse, nous étions engloutis Laissant quelques lames, nous serons obligés *** 22/09/2012 Compo et étirement Étirement, grand écart et tiret Dans le vent, en perdant des couleurs Catastrophe dans le décollement des outils Et le rangement du coffre, prêt à Des chiffres, il a fallu mémoriser les éléments Et la densité regroupée, tout droit dans la compo On descend, on dessine, triturant les morceaux différents Rejetant les images, nous défaisons quantité Pour le plein, décidons ce qui diffère Et la source dira comment se confère la bouille Changement de registre, le pli devient route Ciseaux cafouilleux et dent méchante Retour au format défini, dans le mérite et la chanson Pour le dire calmement, sans débordement et richement Rien à l'envers, dans la montée du suffisant regain Défilé de dentelles et de strasses, comme au temps de la compo, et bien ! *** 28/09/2012 Dans la main Nounours et pacotille, dentition acharnée, fermons l'ouvrage et ouvrons la page Le fil à la patte, le poisson dans le forté, et autre démangeaison Une main qui dirige, qui montre, qui frotte, gratte, bouge, s'enfonce, s'efforce Bon à jeter, il est temps de manipuler. Vous arrêterez et ferez comme il est écrit C'est le dégagement qui va se contenter de refaire le schéma et de balancer le tout dans la direction convenue *** 29/09/2012 Entité et détail Voici le défaut de toute activité, devoir choisir entre le global et le détail.
La pierre est une partie de l'ensemble du champ et le parle On se serre, on raconte, et il faut déjà dire ce que l'on pense ou ce que l'on mange La différence est figée, pourtant s'il fallait marcher, l'asymétrie donnerait du ressort Un exemple dans lequel il faut bien verser, l'espérance du paysage à venir, sa dimension cassée Autre détail, sans broncher, examiné comme un pendant du sujet intérieur démesuré et distant *** 30/09/2012 Pierre et promenade Faut-il dépendre des images, le regard est happé, ou happe ? Trifouilli, je suis là, je pense cela… Dans la tête c'est cela, guidé, les connexions se font parfois évidentes Avec un potentiel obscur, qui existe ?! Les nombreuses pelletées courent au devant pour désensabler Des signaux partout, ceci est là, le regard glisse Liquide, presque à capter entre les doigts. Presque je le tiens Comme de dire qu'en presque le tenant, sans du tout le savoir, il apparaît et devient *** 05/10/2012 Expliquer l’homme Expliquer ceci ou cela, en avant en arrière, un mot et le désordre Le temps se vautre, au repos, posé et serein Hérité de lointains, défendant le mangé de l'homme *** 07/10/2012 Sucreries vertigineuses Des sucreries dans un vestiaire comme paterne idéale Se défaire de certains boyaux tissés et en aspirer d'autres Dans une promenade avec des entre-corps Une pression atroce et désinvolte dans un parc étendu Danse pour un saut vertigineux et désaltérant *** 13/10/2012 Écraser les tissus Écraser la photo pour en faire un support Le pixel compte, mais le texte est par-dessus Tout un programme pour s’évader Cette partie de la photographie, saturée, légère, crémeuse, emportée Des mots pour ne pas oublier Un dimanche, une traversée Se soigner, se camoufler Ecorce et parasite, mais bien sûr, nous traitons de la mise en place Désossé, comment cela ? Enlever la structure interne qui maintient les tissus *** 14/10/2012 L’odeur des cailloux Les cailloux se frottent, en transparence, ou la distance Au sein du paysage, bouton mille Issendort, situation molle Reste une chose démesurée Prêter à l’auréole une découpe Dépliant, ascète et distributeur Désossé, comment cela Enlever la structure interne qui maintient les tissus En circulant, et levier défendant Un faux et un vrai différent Dans les dimensions une équation Petitement, quadrilatère en diago freiné Événement déplié Une traversée, il faut bien dire tout ce pourquoi Odeur persistante Odeur latente, fantôme *** 21/10/2012 Dans l’herbe Me retrouver au sol l’œil collé à l'herbe perdu la netteté je vois bien le reste ces distances compliquées une série de couches un élan vers l'éclaircissement de la profondeur (ou de la surface) tout est bien partagé, je tiens il n'est pas question de conter je ne sais plus si c'est du volume c'est de la surface comme s'il fallait se complaire dans un périmètre et refaire toujours la même chose *** 25/10/2012 Retrouver la densité Je me retrouve le nez dans l'herbe en l’air et à faire le tour, voir derrière. Je me souviens par terre, regardant le monde comptant la qualité cadrant dans le poids pour un dispositif ouvert et une densité assommante. *** 27/10/2012 Sol visible Ça a basculé au sol le regard au flou dans un résumé pour être attentif. C'est entre volonté et hasard vous savez bien « je veux faire une photographie de ça » le cadrage n'est pas toujours là mais c'est tant.. comme ça toujours à côté sans force, je suis bien à travers l'image en train de comprendre la pensée du sujet l'aller et retour le corps capte et roule dans l'humidité toucher sentir et voir ce qui s'électrise dans le crâne ou ne s'électrise pas entre une image de hasard et une volonté de rapprocher cela d'une pensée. En me levant, j'ai ouvert les yeux pour faire défiler tout ce qui passe au bouton Voyez ce qui est ici plein de tout, visible. *** 28/10/2012 Les herbes de fin Délicatement écarter les herbes les formes s’amplifient distribution cohérente en bas ça s'agite en haut tout est calme les effacements et les répétitions avec le positionnement, la distance adéquate tournant, retournant sans une idée de fin *** 01/11/2012 La surface globale La surface plate, sans perspective la photographie sans profondeur le motif en signe un signe sur la terre de profondeur de représentation d'autre dimension Une surface qui représente l'intérieur ou une surface qui représente la profondeur ou une représentation globale *** 02/11/2012 Désordre silencieux Dans le désordre de matières et de distances variées, somnolant, désœuvré, l'être paraît éteint de son soupir et évanescent de son avenir. Un rayonnement surprend la faille de son énergie et démet ses promesses en attendant un potentiel de remise en place détenu à contrario avec une pression intenable dans la parole. *** 03/11/2012 Cheval Ne pas bouger, sentir le temps, et chercher et mâcher de l'herbe se souvenir de l'odeur de la jument envie de galoper, galoper en mémoire et retenir l'instant. *** 07/11/2012 La pensée énigmatique Un imbroglio, comment rouler sans perdre le défilé de la pensée et étendre encore les pas délicatement à travers la mésestime en fibre. Alors, ils décideront pour nous du nombre de pas et du nombre de coups d’œil à infliger aux espaces en sachant le doute existant caché de côté, et l'équilibre rompu des expériences en cours. Dans la durée, il a bâti le vent des prairies pour une défaillance, et les atermoiements affleureront dans une épine énigmatique. *** 07/11/2012 Une écriture commence Une écriture déviante commence et chavire en emportant les résolutions de clarté. Le sujet de l’herbe se défend comme inapte à obscurcir ce qui va être écrit, simplifie l’écoute. La direction impose une utilisation restreinte, un cheminement étroit, alors que le maniement effectif permet les plus intenses défis, une interprétation toujours plus large et une distance variant sans cesse, même dans ce carré avec si peu de possibilités qui lui montre ce qu’un choix dans la matière peu définir de vérité et de destin. *** 10/11/2012 Il suffit de défiler Il suffit ou il s'agit de rencontrer l'inverse de ce que l'on désire pour d'écrire les belles choses. Le lendemain ou pas les jours avaient défilés, s’affaissant. *** 11/11/2012 Désordre involontaire Ascension vers le désordre la marche et la surface suffiront à couvrir les besoins complices de la quantité à faire pour bercer dans la phase en poussée des îlots tempérés ramenés malgré tout. Avec une silhouette et une envie d'emporter la condition, comment te tenir là, dépendant, indépendant dans une insignifiance dégradée, comme un cadeau involontaire. *** 14/11/2012 Vous comprenez le sens Vous comprenez le sens de la « suite », qui raconte une histoire (comme une musique raconte une histoire), une chose évanescente sortie du mélange entre le visuel, la venue des mots, et leurs développements dans
l'espace et le temps. Cela afin de livrer des éléments de ce qui ne serait pas encore une pensée, quelque chose qui « est »
quand on ne sait pas ce que l'on pense, que l'on vaque sans aucune sensation d'être là. Fichtre, il est encore temps, un coup de balai au moment déborde de son compartiment et surprend de son retour d'histoire et en fait un fil sous tension sans pensée ni sens. ***